vendredi, décembre 18 2015
Heim
Toujours plus au sud,
tu suis la ligne bleue,
Jusqu’à ce qu’elle disparaisse.
Un peu plus près du ciel,
Et te voilà
Chez toi.
manu sauvage, le 18-12-2015 (Des mots dispersés)
vendredi, décembre 18 2015
Toujours plus au sud,
tu suis la ligne bleue,
Jusqu’à ce qu’elle disparaisse.
Un peu plus près du ciel,
Et te voilà
Chez toi.
manu sauvage, le 18-12-2015 (Des mots dispersés)
mercredi, décembre 9 2015
À quinze ans, à vingt peut-être, il m’est arrivé d’écouter un album jusqu’à ce que je l’aime. Ça n’a pas toujours été facile, mais c’est à ce prix qu’on se construit.
Aujourd’hui, il m’arrive plus souvent d’aimer un album jusqu’à ce que je l’écoute.
manu sauvage, le 09-12-2015 (Des mots dispersés)
lundi, décembre 7 2015
“Pont au change”. C’est quand même un drôle de nom, un truc à hurler des paroles des Deftones. Sauf qu’en y arrivant, t’as tellement été compressé que tu n’as plus d’air dans les poumons. Alors tu fais tes réserves en attendant l’Opéra.
manu sauvage, le 07-12-2015 (Des mots dispersés)
vendredi, décembre 4 2015
Comment tu fais pour ne pas t’énerver quand on cherche à te vendre du dentifrice pour homme ? Un truc pareil, tu ne peux pas t’en laver les mains.
manu sauvage, le 04-12-2015 (Des mots dispersés)
mercredi, décembre 2 2015
Ça serait marrant de faire une grille de bingo pour vieux con. On pourrait commencer avec la question éternelle des carnetiers dépassés (par leur journée, leur métier, leur été) : bon alors, ce blog, quand est-ce que tu y postes un truc ?
Et les excuses d’en face, qui ne rateront jamais : j’ai pas le temps. Il faut que je refasse ma css. J’ai une vie. J’ai rien à dire. Et toi d’abord ?
C’est bête, au fond. Parce que la vraie réponse, celle que personne ne veut entendre, c’est celle-ci : mon quoi ?
manu sauvage, le 02-12-2015 (Des mots dispersés)