To Say Nothing of the Dog

Chien errant, Bangkok, Octobre 2009

Il m’aura bien fallu deux semaines pour venir à bout de Sans parler du chien, le roman de Connie Willis qui a décroché les prix Hugo et Locus en 1998. J’étais à priori tout acquis à la cause de ce livre - ne serait-ce que pour son titre - mais j’ai dû lutter pour dépasser les cinquante premières pages. Peut-être parce que je venais de dévorer deux bouquins de Robert C. Wilson en quelques nuits, et que le changement était un peu trop brutal.

Mais au final, je suis bien content de m’être accroché et d’avoir terminé Sans parler du chien. Il fait partie de ces livres qui laissent une trace, qui influent discrètement sur mes lectures suivantes, et nettement moins discrètement sur mes rêves. C’est un roman qui fait réfléchir, tout en étant finement drôle. J’en ferai très probablement une deuxième lecture un peu plus tard, histoire de faire revivre cet univers et de me prendre tous les détails qui m’ont échappés en pleine face.

Ceci étant dit, passons à un autre type de lecture et lançons Spotify:
PIL #62 To Say Nothing of the Dog

Commentaires

1. Le jeudi, septembre 30 2010, 16:00 par bank

Et "Who let the dogs out", par les Baha men, alors ?

(Woo, woo woo woo !)

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